Les termes juridiques et leurs multiples traductions dans le monde

avocat

Le droit constitue aujourd’hui un champ important de l’activité humaine, et il est présent partout. Dans le contexte d’accroissement des échanges culturels auquel le monde fait face, la traduction juridique représente une part importante du marché de la traduction.

Mais voilà, traduire des documents juridiques n’est pas si simple. Cela ne se limite à la recherche de termes équivalents dans la langue source, mais bien dans la transposition des concepts du système juridique de la langue source vers celui de la langue cible.

Un des meilleurs exemple est la notion d’avocat : tout le monde la connaît mais étrangement personne ne la maîtrise parfaitement. Surement dû à ces multiples traductions possibles. Le terme “avocat” ne sera donc pas traduit de la même manière selon que le texte est américain, canadien, britannique ou d’un autre pays anglosaxon comme l’Afrique du Sud, la Nouvelle Zélande, l’Australie, etc. Il en va de même concernant le rôle que tient l’avocat dans le document juridique à traduire.

Aux Etats-Unis, “avocat” peut être traduit de trois manières : attorneylawyer et advocate. Ces notions diffèrent dans un autre pays comme le Royaume-Uni. En effet, en Angleterre et au pays de Galles (comme en Irlande), “avocat” ne sera pas traduit par attorney mais soit par solicitor soit par barrister, selon le rôle que l’avocat jouera.

Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, mais révèle bien que le contexte auquel fait référence un texte est fondamental.
Se former à la traduction juridique est donc primordial pour proposer des services et surtout des traductions de qualité, transcrivant le plus précisément possible les concepts juridiques de la langue source.

Source : www.village-justice.com/

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